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 Benkei Ashura (terminée)

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Benkei Ashura

Admin Sanguin

Benkei Ashura

Messages : 17
Date d'inscription : 06/02/2012

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Fruit du démon: Fruit du sang


Benkei Ashura (terminée) Vide
MessageSujet: Benkei Ashura (terminée)   Benkei Ashura (terminée) Icon_minitimeMar 7 Fév - 22:17


Benkei Ashura (terminée) URL DE VOTRE IMAGE

• Nom : ... Ashura
• Prénom : ... Benkei
• Age : ... 19 ans
• Sexe : [ ] Femme - [] Homme Homme
• Groupe : [ ] Pirate
• Pouvoirs/Aptitudes : ... Téléportation.
• Fruit du démon : (Facultatif) Fruit du sang
• Armes : ... Sabre qui repousse les balles de pistolet et crée des ondes sonores.
• Équipement : ... Des béquilles trafiquées.


Son Histoire

C'était une belle journée de pluie, je me baladais durant plusieurs heures sous la pluie, adorant ça comme personne, j'adorais sentir cette sensation sur mon visage et sur mes cheveux argenté, je n'étais âgé que d'une quinzaine d'années et pourtant malgré mon jeune âge, j'adorais m’entraîner, là je revenais d'une petite séance de course où je n'avais pas eu de facilité, j'étais allé le faire en forêt et sous la pluie donc encore plus de difficulté. J'avais alors 7 ans et une soeur de l'âge de 10 ans. Revenant d'un pas lent, j'étais parti à une bonne distance du village, j'aimais bien parfois partir en n'ayant pas ma soeur sur le dos, c'était pas facile mais j'adorais toute ma famille malgré mon âge, j'étais souvent soupe au lait mais j'aimais rester avec eux, surtout que j'avais une famille en or, un père sympathique et assez gentil, une mère aimante et un frère jumeau génial, de quoi être fier. Je ne me pressais pas, profitant de l'eau qui s'écoulait sur mon corps, je n'étais pas habillé de façon bien compliqué, une simple veste, un haut débardeur, un pantalon tout simple et des bottes très simple, je n'avais pas encore tout l'attirail que je portais dorénavant, je portais ce que peux porter un jeune homme d'environ une dizaine d'année , enfin plutôt pour se décontracter. Reconnaissant alors le chemin non loin de mon village, je posais mon regard dessus, n’accélérant pas mais sachant que il n'y avait plus beaucoup de chemins à faire pour arriver à l'endroit où je pouvais me reposer.

Finissant par voir une maison que l'on pouvait voir de loin par la route, je voyais qu'il y avait directement un problème, la maison étant légèrement penché et étant enflammé, malgré la légère pluie, le feu ne s’arrêtait pas et l'on pouvait voir quelques maisons enflammées dans le lot, on ne pouvait pas se mentir, la ville était en train de se faire attaquer et j'avais besoin de réfléchir à un moyen de retrouver tout le monde. Me mettant alors à courir dans la boue, j'avais du mal à courir réellement vite, n'avançant pas aussi vite que prévu, la ville continuait d'exploser à quelques endroits, les flammes ravageant peu à peu le village où j'avais vu mon enfance se dérouler et une partie de mon adolescence, je ne pouvais pas laisser ça se passer ainsi, je devais réagir mais comment faire alors que je n'avais pas d'armes. Arrivant alors au niveau de l'entrée du village, j'entendais des cris assez violents retentir d'un peu partout, ne reconnaissant pas les voix de ma famille, ils n'étaient pas là pour le moment, quelle chance pour moi, il n'y avait personne pour s'occuper de moi alors je pouvais commencer à rentrer. Rentrant alors peu à peu dans la rue, je continuais mon chemin, marchant à pas feutrés, ne voulant pas attirer l'attention sur moi, ayant peur, réellement, je ne voulais pas mourir, c'est vrai.

Déboulant alors en partie dans l'une des rues du village, je soufflais ne remarquant pas grand chose d'important jusqu'à ce qu'un bras assez musclé vient m'attraper le bras gauche, une mauvaise chose de ma part, c'était bien ça ? Je me tournais alors, m'étant comme tétanisé à ce moment là, j'étais trouillard, je n'avais jamais vécu d'instant comme celui là, j'avais peur de mourir parce que j'avais fait une erreur et de faire mourir toute ma famille ainsi, et tous mes amis, alors je me tournais fièrement, voyant une femme d'une taille assez imposante, dans les deux mètres, une vraie bête, une personne contre qui je ne pouvais pas faire le malin. Son regard se tournait alors vers un couteau qu'elle sortait de sa poche, me regardant comme un animal qu'elle voulait saigner, c'était le moment d'avoir ma chance divine à nouveau, c'était aussi le moment où je voulais m'enfuir en courant, même si ça aurait été un réflexe de trouillard, je ne voulais pas mourir tel un imbécile par une femme comme elle. Voyant alors son couteau se rapprocher vivement de ma gorge, je vis l'a femme s’arrêter alors tout à coup, comme tétanisé, les yeux montrant une douleur et une peur incroyable, commençant à s'écrouler, dévoilant ma sœur devant moi.

C’était devenu une sorte d’habitude pour elle, j’étais le plus faible entre nous deux et le plus pleurnichard, je n’arrivais pas à me décider à tuer quelqu’un si j’en étais réellement obligé, alors que Sharlia avait tué un homme en face de moi, ça ne lui faisait certainement pas plaisir mais au moins,elle avait eu le courage de continuer son acte et d’éviter que je meurs de façon aussi pathétique, c’était une fille avec du courage. Je continuais alors mon chemin en le suivant toujours de façon présente et cette fois ci, je faisais attention à tout ce qui m’entourait pour que cette fois ci,elle ne soit pas obligée de tuer pour me sauver, même si ça ne l’aurait pas dérangée, on ne pouvait pas la considérer comme une démon, comme une bandit, elle était le fils Yu le plus courageux et froid des deux mais elle avait les notions que je n’avais jamais eu. Heureusement que nous étions tous les deux différents, c’était assez particulier, mais au moins on montrait vraiment la différence entre nous, j’étais le plus sympathique et ouvert des deux alors qu'elle, n’était pas ouverte à la discussion et au contact, nous faisions la paire pour moi mais il est vrai que c’était bien le passé mais revenons en au moment présent, je n’ai pas fini de raconter mon histoire. Des bruits de pas résonnaient sous nos courses pour arriver à la partie la plus attaquée de la ville, nous devions défendre notre ville.

Arrivant alors à la partie importante de la rue, on courrait alors en voyant les paysans de la ville être amené de force par les bandits, sans réfléchir, une colère non dissimulée se voyait dans nos yeux, montrant que l’on était prêt à céder aux bassesses pour réussir à les sauver, on était pas les gens qui avaient le plus d’expérience au combat dans la ville, mais nous ne voulions pas rester en retrait par rapport à certains hommes. Fonçant à toute vitesse vers le groupe de bandits, on ne réfléchissait pas, poussé par l’adrénaline, à tel point que l’on ne vit pas un homme arriver à toute vitesse de côté vers nous pour plaquer au sol Sharlia, lui plantant directement le bras dans un cri de douleur atroce de la part de ma sœur, il était temps de prendre son courage à deux mains et de ne plus réfléchir, ce n’était plus le moment. Me retournant alors en gardant mon calme, je voyais l'homme retirer le couteau de la plaie, le redirigeant vers une zone beaucoup plus mortelle, une zone qui n'aurait pas été celle que je voulais, le voyant alors approcher de la gorge de Sharlia, je cherchais alors à ma ceinture, l'arme que j'avais pris auparavant, la dégainant presque au ralenti, regardant l'homme calmement. Mes doigts se crispèrent alors et d'un geste de survie, une explosion retentit dans mes mains, faisant s'écrouler l'homme qui attaquait ma sœur, le faisant tomber raide mort, face à lui, je soufflais alors, tremblant de tout mon corps.

M'écroulant alors au sol, voyant le sang se verser, je regardais mes mains, m'imaginant la tête de l'homme dans mes mains, criant de douleur, comme si le sang était dans mes mains, je n'étais pas habitué à faire souffrir les gens et encore moins dans l'optique de tuer une personne, ce que j'avais fait à l'instant, c'était peut être faible de ma part mais je me sentais mal dû au fait que j'avais tué un homme mais je savais que j'avais bien fait. Sentant une chaleur monter dans mon corps, je me relevais alors, atteint par une sorte d'adrénaline, comprenant que si j'avais fait ça, ce n'était pas pour le plaisir de tuer quelqu'un mais parce que je n'avais pas eu le choix en fait, si je voulais que Sharlia puisse profiter de la vie encore quelques temps, je me devais de la sauver, me rapprochant alors d'elle, titubant un peu à cause des émotions, je la fixais alors calmement. Me penchant vers elle, je pris alors son bras, passant son bras non blessé, dans ma nuque, de façon à pouvoir le porter, elle n'était pas réellement blessé gravement mais je savais que je devais l'aider cette fois ci, elle était dans une sorte d'état de choc, elle ne réagissait plus à ce que je pouvais lui dire ou lui faire donc il était temps pour moi de me décider à la sauver une fois pour toute.

Je me dirigeais alors vers un coin calme de la rue principale, le plus grand bâtiment de la ville qui était aussi une église, je pouvais dire que elle n'avait plus de sa superbe mais il y avait quand même encore les murs principaux, elle n'était pas prête de s'écraser sur elle même, c'est ainsi que je me dirigeais vers ce bâtiment, sentant un liquide couler avec la pluie sur mon bras, qui tenais son autre bras ensanglanté. Je frissonnais à cette sensation assez particulière vu que le sang avait une consistance bien particulière et que je n'avais pas l'habitude d'avoir du sang sur les mains ou sur les bras, c'était pas une sensation très agréable surtout quand on sait que le sang qui vient de couler sur soi, ce n'était pas un sang adverse mais d'une personne de sa propre famille, c'était encore pire comme sensation mais je la supportais tout de même. Arrivant dans le bâtiment, je voyais plusieurs villageois réunis, venant rapidement prendre soin de Sharlia pour le soigner, regardant alors quand on la prit de mes bras, je cherchais mon père et ma mère du regard, il n'y avait aucuns des deux, c'était peut être une bonne raison pour rester ici mais pour moi, il fallait que je sache si ils allaient biens ou non, aucunes possibilités de rester sans rien faire.

Commençant alors à courir dans la rue, je sentais la pluie se faire de plus en plus forte, ce n'était pas grand chose mais ce n’était pas obligatoirement un très bon présage, il faut bien comprendre que lorsqu'il y a de la pluie, c'est parfois une situation où il y a une perte ou un enterrement, ce n'était pas le moment où on pouvait laisser ça arriver, me dépêchant alors encore un peu plus, j'arrivais là où le feu se faisait faible mais quand même encore présent. Ralentissant alors en entendant des bruits, je me bloquais contre un mur, soufflant alors, j'avais encore un peu peur, on ne pouvait pas s'improviser guerrier directement, j'avais toujours peur mais ce n'était pas une raison pour continuer à fuir toujours, je me devais de continuer le combat jusqu'à la fin, surtout que c'était pour sauver les gens qui m'étaient chers alors aucunes chances pour que je fuis, c'était maintenant ou jamais, je n'avais plus aucuns retours possibles. Me rapprochant alors le coin de la ruelle, je sentais ma respiration se faire de plus en plus haletante, ayant du mal à garder mon calme, c'est pour cela que je me mordais alors la lèvre inférieure pour me calmer, sentant quand même un peu de sang dans ma bouche dû à cette action, me décidant alors tout à coup, je me tournais de façon à me mettre face à la rue, où il y avait de nombreuses personnes, surtout des villageois que je connaissais bien et qui me connaissaient bien.

Je commençais alors à démarrer ma marche vers eux, commençant à me rapprocher tout calme, il n'y avait aucune logique dans mon action, c'est comme si je fonçais dans la fosse aux lions mais si je pouvais les aider à s'en sortir sans qu'il n'y ai de pertes pour eux, je le ferais et ainsi, sans être considéré comme un héros, j'aurais pu être utile dans ma vie, ce n'était pas grand chose, c'est vrai mais j'avais envie de dire que j'aurais sauvé des gens. Me bloquant alors en entendant des bruits de pas derrière moi assez oppressant, je sentais un canon de pistolet se bloquer dans ma nuque, ne bougeant plus, j'avais été idiot encore une fois et j'allais mourir comme un idiot, les villageois ne pouvaient rien faire et se feraient sûrement décimer par tout ces bandits, j'avais essayé de les sauver et la seule chose que j'avais fait, était de les envoyer dans une impasse. Soufflant alors, je posais mon pistolet dans ma poche, me laissant alors faire entendant la préparation du tir, il n'y avait sûrement que quelques chances pour que je survive mais j’espérais encore de tout mon cœur, il n'était pas vraiment possible de rendre les miracles possibles juste en espérant, mais c'était encore ma dernière chance de vivre alors je fermais les yeux et espérais encore pour les quelques secondes qu'il me restait à vivre.

Entendant un cri alors retentir derrière nous, je me sentais projeter en avant, tombant alors de tout mon long sur le sol, voyant l'homme qui m'avait aussi menacer tomber quelques mètres devant moi, je le regardais alors en soupirant, n'osant pas me relever, entendant un bruit de pas derrière moi, me tournant alors légèrement, je voyais un long manteau violet ainsi qu'une main se tendre vers moi, comme une main chaleureuse. Posant mon regard de plus en plus haut, je regardais un visage surtout marqué d'un grand sourire et d'un œil disposant d'un monocle, cet homme, je ne le connaissais que trop bien, il fallait que je prenne sa main pour me sentir directement mieux et c'est ce que je fis à l'instant même, sentant une chaleur douce parcourir mon corps, cet homme était imposant par la taille et le charisme, j'étais fier de mon père. Souriant en le regardant, je me dirigeais alors avec lui vers les villageois, restant quand même sur mes gardes même si j'avais beaucoup moins peur grâce à la présence de mon père, il n'avait pas l'air effrayé comme moi mais lui avait eu l'habitude de se battre avant, il savait bien manier l'épée et durant quelques années auparavant, j'avais commencé à m’entraîner pour lui ressembler. Ce n'était pas prêt d'arriver mais je voulais qu'ils soient fiers de moi et que je puisse enfin être considéré comme un de ses fils, que je ne sois pas juste dans une ressemblance vu mes cheveux argenté.

Je me mis alors rapidement auprès des villageois, les délivrant rapidement, réfléchissant quand même promptement, n'ayant pas vu beaucoup de bandits, pourtant les maisons et les échoppes avaient été pillés et brûlés, comme si ils n'étaient pas là pour le moment, comme si ils s'étaient totalement regroupés pour finir le pillage en bonne et dû forme, ce n'était pas une grande question mais il fallait comprendre. Quand je finis de réfléchir, j'entendis une explosion retentir non loin de là, voyant un bâtiment qui se trouvait non loin de nous s’effondrer à côté de la foule qui commençait alors à se disperser par peur, il y avait une peur incroyable dans cette foule, c'était normal de se disperser pour éviter de mourir mais là, ils courraient un petit peu n'importe comment, ne sachant pas où se mettre, tel une fourmilière écrasé à coup de pieds. Finalement, la rue reprit son calme d'antan, ne laissant plus que moi et mon père se retrouver face à une foule de bandits s'approchant de nous à toute allure, je ne savais pas ce qui allait se passer, je n'étais pas dans la tête de ces hommes, la peur faisait que je voulais m'enfuir mais le courage que j'avais retrouvé aujourd'hui, me disait de ne plus reculer de rester de façon à me montrer enfin comme un homme, comme un véritable guerrier.

-Recules un peu Benkei.....je me dois de les tuer pour que les villageois puissent vivre en paix.

Le regardant alors comme pétrifié, je me mis alors à reculer doucement, soufflant alors, je n'avais jamais vu mon père aussi stricte et aussi froid, une colère se lisait sur son visage, ses mains commençaient à se crisper, regardant les bandits tel des déchets, il brandit alors son épée sur le côté, laissant une veine apparaître sur sa main, comme si il se crispait et qu'il s’énervait encore un peu plus. Me postant alors à une dizaine de mètres en arrière, je regardais toujours les bandits arriver en courant, comme une troupe de chiens enragés qui croyaient que leurs proies ne feraient rien pour se protéger, c'est à ce moment là que je vis le bras de mon père se déplier totalement, faisant que l'épée avait fait un mouvement horizontal complet, voyant une grande trace d’énergie partir vers eux, sentant mon corps trembler de part en part. Soufflant alors au moment où la vague d’énergie s’arrêtait finalement, je voyais la troupe s’arrêter alors comme si ils étaient des statues, je vis alors du sang couler de leurs torses respectifs, voyant une marre se faire de plus en plus grosse, voyant toujours du sang couler de leurs corps, voyant alors les hommes tomber comme des murs, s'étalant dans le sang, écarquillant les yeux en voyant mon père, passer une main dans ses cheveux comme si de rien était, c'était très impressionnant.

Sortant alors de ma fausse cachette, je me dirigeais vers lui, comme si j'avais face à moi un mur infranchissable, je voulais lui ressembler et être designer comme un grand guerrier mais dorénavant, je savais que j'avais encore un chemin incroyable à parcourir, c'était plus fort que moi mais c'était une sorte de défi que je m'étais donné dans la vie, j'avais un modèle dans ma vie et même si c'était mon père, je voulais le battre. Voyant alors sa main se décrisper et lâcher l'épée sur le sol dans un bruit de fracas, je regardais autour de moi, regardant si il n'y avait plus aucuns dangers, voyant qu'il avait pris beaucoup d'énergie dans cette bataille, il avait les yeux flou, comme si il ne voyait presque plus et qu'il était au bord de la rupture, ce que je vis alors quand il tombait à genoux après ce dur combat, je ne l'avais pas vu beaucoup se battre mais il n'avait certainement pas pu rester dans son coin. Quand je finis alors de vérifier si tout allait bien dans la rue, d'un coup d’œil assez étendu, j'entendis un cri qui m'étais une nouvelle fois familier, c'est ainsi que je tournais vivement le regard vers un toit non loin de nous, voyant encore un bandit le visage recouvert de sang, tenant par la gorge, une femme que je connaissais, c'était ma mère cette fois ci, je sentis alors une colère m'envahir totalement, voyant alors le monde d'une couleur un peu plus foncé. C'était comme si du sang s'était mis dans mes yeux, sauf que je ne sentais pas un liquide sur mon front.

Le voyant alors sortir un pistolet, le pointant vers moi, je sentais alors mon corps se crisper une seconde fois, sentant ma main partir instinctivement vers ma ceinture, portant ma main à mon pistolet, sentant mon cœur battre de plus en plus fort, comme si mon cœur se voulait que je fasse cette action, c'est ainsi que je pris mon pistolet, préparant déjà le tir avant de le dégainer, me mettant à viser directement vers lui. Quand je vis l'homme préparer son tir lui aussi, je ne pris plus le temps de réfléchir et d'un geste de l'index, je tirais la balle qui vint alors se loger dans la tête de l'homme, sentant une balle frôler mon visage, sentant un filet de sang couler le long de ma joue, regardant alors sur le côté, arquant légèrement un sourcil, il était alors temps de commencer à courir, il y avait toujours la femme que je devais sauver tout de même. Me mettant alors à courir à toute vitesse, je glissais alors sur le sol, rattrapant dans mes bras, ma mère, la regardant alors, étant tombé dans les pommes dû au choc de tout ce qu'il s'était passé, je pouvais bien la comprendre en fait, c'était pas facile pour tout le monde de se faire agresser par une de ces brutes, personne que je vis alors tomber plus bas dans la rue, tombant du toit un peu après ma mère. Son corps était recouvert totalement de sang, ayant perdu la vie après une balle, je n'avais pas eu de pitié envers lui, il fallait que je sois fort cette fois ci, il en était de la vie de ma mère et de ma famille.

Sentant alors une main se glisser sur ma plaie, je regardais ma mère d'un regard tendre, me dirigeant alors vers mon père qui était toujours aussi fatigué, même si il était vieux, il avait encore de bons restes, il pouvait nous défendre mais un jour, il devrait s’arrêter et ce jour là, on savait bien qu'il serait proche tôt ou tard, ce n'est pas par envie de dépasser mon père mais pour le laisser enfin se reposer un jour. Après être arrivé à ses côtés, je laissais finalement ma mère revenir sur ses pieds, la laissant aux côtés de mon père, la voyant alors se mettre à genoux, le prenant dans ses bras, souriante comme à son habitude, elle avait envie de profiter du calme qu'il y avait car on savait tous très bien que après cette attaque qui avait durer une simple journée, on aurait besoin de beaucoup de courage pour reconstruire une ville seine et épanouie. Mettant alors mes mains dans ma nuque, je me mis alors à marcher dans la rue, me mettant à marcher comme vers le futur qu'il fallait que je construise avec le reste de la ville, il n'y avait plus aucunes possibilités pour retourner en arrière, si je voulais réussir dans ma vie, je devais continuer de m’entraîner tout le reste de ma vie et ainsi pouvoir sauver les gens qui me sont chers. C'est ainsi que j'ai commencé mon entraînement et mon rôle de protecteur, un homme qui n'a jamais pensé à autre chose que sauver sa ville.

[12 ans plus tard]

Un homme était étalé sur un toit, un toit parfaitement fini, il n'y avait aucunes erreurs ni trous dans ce toit, il y avait quelques mois que toutes les réparations étaient finis, je profitais dorénavant du calme que j'avais dans la ville, il n'y avait pas beaucoup d'activité ces temps ci car tout le monde prenait du repos mais je pouvais profiter d'une ville magnifique où je prônais tel un gardien infranchissable. Je me levais alors, prenant d'une main mon épée, j'avais hérité de l'épée familiale, une épée mythique à ce que l'on m'avait dit, mon père n'était pas mort, il était juste devenu trop vieux pour se battre à son plein niveau, ma mère était restée avec lui durant toute sa vie, elle était toujours avec lui de façon à le surveiller pour ne pas qu'il soit trop dur envers lui même et ma sœur ? Et bien elle était partie pour voyager un petit peu dans le monde, je ne l'avais pas vu depuis plus de deux ans,elle n'avait pas laissée de traces ni d'endroits où elle aurait pu aller, elle était juste partie comme si de rien était. Je me mis alors à marcher sur les toits, regardant autour de moi, voyant au loin un bateau avec un grand drapeau arriver, un drapeau noir, comme celui que l'on avait trouvé il y a douze ans ? Très bien, il y avait encore un peu de temps avant qu'ils arrivent, je n'étais pas décidé à laisser cette ville dépérir une seconde fois, j'étais là pour éviter que des gens souffrent pour rien, que des frais ne soient plus fait pour ça.

Me préparant alors au combat, je ne prenais que mon épée, remettant alors l'épée dans mon dos, bien accroché, soufflant alors, je me préparais à montrer ce que mon entraînement de douze ans m'avait donné, je n'avais jamais pu me préparer à une telle bataille, c'était peut être un petit peu présomptueux de ma part de m'être proclamé protecteur, mais si mon père l'avait voulu, il ne m'aurait jamais donné cette épée. Soufflant alors, je me dirigeais vers la rue principale, voyant beaucoup d'hommes et de femmes qui s'étaient installés devant la sortie de la ville, armés de pioches et de pelles, comme si ils voulaient tous se battre, ils n'avaient certainement pas envie de rester stoïque comme il y a bien longtemps, sauf que si je m'étais mis à ce poste, c'était pour éviter qu'ils se blessent dans une bataille comme celle ci. Les faisant alors s'écarter juste en passant, je vis un jeune homme se diriger vers moi, il n'avait même pas dix ans mais il était prêt à se battre, il me rappelait mon regard quand j'étais plus jeune, naïf mais prêt à se battre pour que sa ville et ses proches ne soient pas blessés. Un rire sorti alors de ma bouche et je passais une main sur sa tête, comme pour le réconforter, me remettant alors à marcher vers la rive, voyant le bateau se rapprocher de plus en plus, il n'y avait plus rien d'autres à faire, je devais les tuer vu qu'ils n'avaient pas l'air dans l'optique de laisser cette ville tranquille.

Arrivant finalement à la rive, je vis une femme se mettre à mes côtés, enfin elle était à une dizaine de mètres à côté de moi, il y avait un air de ressemblance toujours présent entre nous deux malgré ce temps que je ne l'avais pas vu, je passais une main dans mes cheveux, me grattant calmement la tête, regardant l'épée qu'elle avait à la ceinture, réfléchissant très légèrement pour trouver quelque chose à lui dire. Quand j'ouvris la bouche, j'entendis un rire assez fort m’arrêter, voyant un homme se mettre face à nous, voyant une bonne centaine d'hommes se mettre face à nous, prenant alors le manche de mon épée de la main droite, je le regardais d'un regard totalement froid, ce regard que j'avais trouvé il y a bien longtemps, un regard qui montrait un air de meurtrier, pourtant, je n'aimais pas tué les gens mais face à eux, je perdais comme on peut dire mon calme. Je mis alors l'épée hors de ses lanières, regardant les hommes, voyant l'autre homme qui était avec moi, se mettre en position, les genoux légèrement pliés, une main au manche de son katana, l'autre à son fourreau, un sourire légèrement plus malsain que le mien, je mis alors en harmonie avec l'autre homme, ma main vers le ciel, pointant trois doigts très simplement. Je pliais alors un doigt, toujours en harmonie avec l'homme, je faisais de même pour un deuxième doigt et au troisième doigt, un bruit de fracas se fit entendre, fonçant vers la bataille à toute allure.

Deux hommes se retrouvèrent à terre rapidement, laissant un cri de douleur retentir, commençant alors une bataille où je ne faisais attention que à mes mouvements, je vis alors deux épées arriver rapidement vers mon torse, me pliant totalement en arrière, je posais mes mains au sol, me reculant d'un petit saut, chargeant calmement l'épée, soufflant une nouvelle fois en sentant mes yeux reprendre une tournure un peu plus douce, comme si j'étais heureux. Fermant alors les yeux, je ne vis pas les hommes foncer vers moi et d'un coup, relâchant mon bras, je lançais une frappe horizontale, lançant à nouveau une ligne d’énergie comme mon père l'avait fait il y a bien longtemps, laissant une vingtaine d'hommes tomber au sol, blessé de façon assez importante mais je savais que si je gardais un peu plus d’énergie dans l'épée, je pouvais trancher en deux un corps. Soufflant alors en voyant que les hommes se faisaient décimer simplement, je m'essuyais rapidement les lèvres, sentant du sang couler sur mes lèvres, si je voulais utiliser une vague d’énergie, il fallait que j'utilise un peu de mon énergie, en gros, que je me fatigue légèrement plus, mais cette épée était le symbole même de notre famille, une volonté qui ne se brise jamais et un courage sans pareille.

Me reprenant alors un peu en main après cette attaque, je vis trois hommes sauter sur moi, se dirigeant comme pour une estoc, enfin une attaque où ils voulaient tous les trois planter leurs épées dans mon torse, ils avaient l'air d'être incertains de leurs actions, c'est ainsi que d'un simplement mouvement du poignet de frappais juste les trois hommes avec le manche de mon épée, les faisant tomber comme des mouches, manquant d'air. Je me penchais légèrement vers eux et au moment où je vis une main bouger pour eux, je fis un pas d'environ un mètre en arrière, voyant l'homme se relever en toussant, je secouais la tête, totalement déprimé, je ne voulais pas les tuer, même si j'avais fait une attaque assez importante tout à l'heure, ce n'était pas pour les tuer mais pour les empêcher de faire du mal aux gens que j'avais protégé depuis plusieurs années. Soufflant alors en le voyant retenter un coup d'estoc, je remis l'épée face à lui et avec une habileté incroyable, je bloquais sa lame avec la pointe de ma lame, le faisant écarquiller les yeux à cette attaque, frappant alors du pied sa main, pour faire lâcher son épée, je frappais d'un coup plus important du manche le torse de l'homme, le faisant alors tomber en train de tousser, manquant d'air, je ne l'avais pas tué ainsi.

Je passais alors une main dans mes cheveux, regardant tout le monde, voyant tous les hommes au sol, penchant la tête, ne faisant pas gaffe aux gens que Sharlia avait simplement bloqué mais elle les avait seulement assommé, nous n'étions pas là pour tuer des hommes mais seulement pour laisser d'autres vivre sans se faire tout le temps attaquer ceux qui n'avaient rien demandé au monde, c'était ça mon vrai but. Regardant le capitaine dans les yeux, je le vis alors lâcher son arme, écarquillant les yeux en regardant mon épée, c'était vrai que pour beaucoup des gens la connaissaient mais je n'étais pas prêt de la laisser dans les mains d'un autre homme car elle n'était là que pour la famille Sparda, et c'était ainsi qu'il fallait que je protège ma ville, en gardant mon épée et en continuant de m’entraîner jusqu'à la fin.

-Ne reviens plus jamais, il est temps pour toi de partir te reposer et faire une véritable œuvre de ta vie, car je serais toujours là avec Rebellion pour protéger l'honneur d'une famille qui à voué sa vie à protéger les autres. Soit, va vivre ta vie et n'oublie pas que Benkei Ashura restera à jamais dans cette ville pour la protéger. Maintenant pars et va profiter réellement de la vie.

On pouvait voir dans son regard une peur indescriptible comme si il n’avait jamais vu personne comme moi, c’est ainsi que je souriais alors, comme si de rien était, rangeant alors mon épée dans mon dos, ne faisant plus attention à ce qu’il pouvait faire de sa vie, c’était dommage de finir un combat comme ça mais quand on avait pas le choix, on devait faire fuir les gens pour qu’ils puissent vivre encore un peu. Me dirigeant alors vers ma sœur , j’entendis alors un rire se faire de plus en plus présent, arquant un sourcil, je me tournais vers eux, penchant la tête, comme curieux de son rire, pourquoi est ce qu’il rigolait alors que je lui avais dit de partir sur le champ et de continuer à vivre d’une façon acceptable ? Peut être est ce qu’il était fou et qu’il voulait continuer le combat. Me tournant alors pour lui faire face à nouveau, plaçant mes mains dans mes poches, je vis alors de nombreux hommes qui étaient à terre se relever, on ne les avait que blessé de façon assez ridicule, on ne voulait pas les tuer, il n’y avait aucunes raisons de les tuer à mes yeux, beaucoup de gens ont le droit à une seconde chance mais cette fois ci, peut être que j’avais fait fausse route. Soufflant alors, je replaçais mon regard, ayant un regard plutôt triste face à eux, j’étais réellement triste de voir ça face à moi, je n’avais pas envie de les tuer en fait, la guerre, ce n’était pas pour moi, je voulais juste sauver les gens qui étaient autour de moi.

Me mettant à nouveau en position, j’entendis un rire encore plus oppressant quand je vis des hommes apparaitre sur le pont du bateau, il y avait encore pas mal de bandits et ce n’était certainement pas leur chef celui que j’avais humilié, juste un sous chef et bien, ce n’était pas prêt de s’arrêter alors cette bataille pour eux, mais tant pis, je n’avais vraiment pas envie de les blesser aussi gravement. Soufflant alors, je fis un geste à Sharlia pour lui dire de reculer et me mettant sans armes face à eux, les voyant alors foncer tel une meute enragée, il n’y avait pas grand monde pour la première attaque mais évidemment, il fallait que je sois sérieux, ils étaient armés de deux épées de mauvaise qualité mais si je me prenais un coup, de bonne qualité ou non, ça n’aurait pas été un bon échange. Les voyant finalement arriver à mon niveau, je vis le premier tenter un coup vertical, le second tentant un coup horizontal, essayant de me prendre au dépourvu, mais il fallait que ils soient prêts à supporter les conséquences dorénavant car je ne me serais pas gêné pour leur faire mal, ce n’était pas dans mes projets mais quand l’on voit face à plusieurs hommes une telle envie de faire souffrir, on ne peut rien faire d’autre que leur montrer la vérité en face. C’est ainsi que cela marche pour beaucoup, pour moi c’était difficile d’appréhender ce système mais si je pouvais leur apprendre sans les faire souffrir, ça aurait été bien mieux.

Soufflant alors rapidement, je les vis alors foncer vers moi de façon assez acharné, il avait toujours l’air aussi idiot, c’est alors avec une simple vrille sur le côté que j’esquivais la première des attaques et regardant alors dans les yeux le deuxième homme, je soufflais, prenant d’une main son poignet, il fallait que je fasse vite, l’autre allait se retourner d’une minute à l’autre, ce n’était pas facile pour moi de fanfaronner dorénavant. Je faisais alors craquer mes mains, de façon à faire comprendre que je ne rigolais plus et c’est alors dans une allonge assez incroyable que je me pliais en arrière, bloquant avec le poignet que j’avais attrapé l’épée, ayant juste dirigé l’épée dans mes mains, je lâchais alors son poignet, posant mes deux mains sur le sol, me propulsant dans les airs, frappant au préalable les deux mains des hommes. Voyant leurs épées voler avec moi, je les attrapais comme tout bon épéiste aurait fait et arrivant finalement au sol, je laissais alors mes deux bras s’allonger, laissant les lames se planter dans les torses des deux hommes, les laissant alors cracher du sang pour une dernière fois, s’écroulant alors, gardant leurs épées plantées dans leurs torses, je n’avais pas eu de pitié pour eux, c’était une sorte de correction. Reprenant alors un visage plus souriant, je les regardais avec un grand sourire sur le visage, pour leur montrer que j’étais prêt à me déchainer s’ils voulaient tellement que ça mourir.

Les voyant alors se pétrifier sur place, je plaçais alors les deux corps au sol, sur leurs dos, de façon à avoir les manches face à moi, entendant alors deux cris pourfendre le silence qui s’était installé, fermant alors les yeux à l’écoute deux leurs pas, j’attrapais rapidement les deux manches dans mes mains, tournant légèrement la tête en les regardant d’un regard presque désolé pour eux, c’était dommage de gâcher sa vie ainsi. Alors, faisant tourner les épées dans mes mains, l’on pu entendre deux horribles cris se faire entendre, ayant subi la même chose que leurs compagnons, se retrouvant avec pour chacun d’eux une épée en plein cœur, n’ayant pas visé une mort lente et douloureuse mais après quelques instants, les corps devinrent plus lourds et tombèrent aux côtés de leurs compagnons, allant simplement les rejoindre là où ils étaient. Soufflant alors, réellement triste de cette situation, je tournais mon regard vers eux, cette fois ci, mes yeux n’étaient ni rouge sang, ni bleu glace mais plus un violet mélancolique, et triste, ils avaient tellement envie de se battre que je ne pouvais pas refuser ça pour eux, même si je n’avais pas envie de tuer qui que ce soit, ils voulaient un dernier duel face à moi, c’était leurs droits. C’est ainsi que je vis tout le regroupement foncer vers moi et les hommes qui étaient encore sur le bateau se regrouper sur la rive, un homme se profiler face à moi, un homme plus grand et plus fort physiquement que les autres.

-Attrape Benkei !

Tournant alors mon regard vers l’arrière, je vis un fourreau et le katana de ma soeur arriver vers moi, me tournant légèrement vers eux, ne regardant plus le sabre arrivée vers moi, il était temps que je me décide à me battre sérieusement, il y avait une dizaine d’hommes face à moi cette fois ci et j’étais seul vu que Sharlia savait certainement que je ne voulais pas me faire déranger. Soupirant alors en les voyant à peine à quelques mètres de moi, j’attrapais alors le fourreau rapidement, entendant le vent derrière moi et d’une main habile, je sortais le katana de son fourreau et trancha rapidement, au niveau de la gorge un homme, me baissant par réflexe pour esquiver une attaque qui venait par le côté, je me mis alors à me déplacer les épaules particulièrement basses face à eux, pour passer en dessous de leurs coudes et les empêcher de m’attaquer rapidement. Me retrouvant alors derrière eux, je m’arrêtais d’un pied, et sortant le katana de son fourreau à nouveau, commençant à le faire tournoyer, me redirigeant vers le petit groupe, il n’en restait plus que neuf dorénavant, c’est ainsi que je commençais à frapper au niveau de deux hommes, frappant au niveau de la nuque, je les faisais descendre un par un mais sans douleur pour eux. C’est ainsi que je vis deux hommes tomber à nouveau au sol inerte, assez triste, je regardais à nouveau les hommes, se préparer à m’attaquer, comme si il fallait perdre du temps dans un combat pour ça, il ne fallait pas attendre.

Voyant alors les hommes foncer un par un, je gardais le sabre en dehors de son fourreau, me mettant alors à marcher vers eux, d’un pas particulièrement lent, ils ne savaient pas se battre réellement, je n’avais pas envie de les tuer mais si je ne le faisais pas, ils n’allaient pas hésiter pour attaquer à nouveau le village en étant encore préparé, c’est ainsi que je bloquais alors la première épée arriver vers moi. Regardant le deuxième homme arriver, je poussais simplement le premier assaillant vers le deuxième, le voyant simplement s’empaler sur l’épée, ils ne savaient pas tenir une épée et ils se croyaient réel combattant, c’était hilarant, c’est ainsi que je regardais le troisième arriver vers moi, l’esquivant d’une simple vrille, je le regardais alors et frappais simplement d’un coup de la pointe, le transperçant de part en part, regardant un autre homme arriver. D’un simple mouvement du corps entier, je fis passer le corps au dessus de mon épaule, le laissant frapper de plein fouet deux autres hommes, les laissant alors tomber face à mes deux autres assaillants, tout à coup pétrifier par la peur de mourir, je m’approchais des trois hommes au sol et d’un geste assez rapide, je plantais mon épée dans l’homme qui gisait au plus haut, les transperçant tous les trois. Après une simple effusion de sang, je n’entendis plus aucuns cri, plus aucunes douleurs pour eux, ils avaient péri ainsi, ils étaient morts sans trop souffrir pas comme certains villageois qu’ils avaient surement fait souffrir pendant de longues minutes.

Regardant alors deux derniers hommes se poster devant moi, je secouais la tête tout bonnement affligé, ils n’avaient plus peurs de mourir alors, tant pis, ça les aurait fait changé de bord de me montrer un peu de bonne foi, mes yeux n’avaient pas changé, je n’avais pas envie de me battre mais j’étais quand même dans une situation très protectrice, j’agissais en pur protecteur pour un village où j’avais fait beaucoup. Les voyant alors arriver en courant, je fis un simplement haussement d’épaule et d’un geste tout bonnement circulaire, je vis du sang couler au niveau de mon visage, sentant leurs gorges trancher sous l’attaque mon épée, je n’avais pas voulu en arriver là, l’odeur du sang n’était pas bien agréable mais j’avais quand même envie de les faire renoncer, les autres surtout. Sentant alors l’odeur du sang, j’essuyais une légère partie de mon visage, me tournant vers eux en les regardant calmement, l’homme qui était sur le bateau auparavant n’était plus à sa place si fier, il était descendu auprès de ses hommes, me regardant avec un regard plein de haine, une haine comme si il avait eu une fierté bafoué, je n’avais fait que lui régler son compte humblement. Le voyant alors sortir un pistolet qu’il avait caché derrière un de ses hommes, je vis alors le coup de feu être tiré vers mon frère, le voyant alors s’écrouler derrière moi, se tenant une jambe, criant de douleur. Le visage horrifié, je gardais alors une rage incommensurable envers l’homme, lui faisant signe de venir régler les problèmes en un contre un.

Me postant alors vers l’homme que je vis arriver avec une énorme massue, je le regardais alors avec un regard cette fois ci, réellement meurtrier, il avait osé tirer sur mon frère, ce n’était pas une blessure mortelle mais j’avais laissé faire ça face à moi, c’est ainsi que je me retrouvais alors face à un homme qui était bien plus grand que moi, enfin il faisait un mètre de plus que moi, je faisais deux mètres mais il en faisait trois, pas mal la bête. Le voyant alors tendre une main vers moi, je souriais alors calmement, feintant alors de tendre la main vers lui, je souriais toujours à pleine dents face à lui comme pour le provoquer, mes yeux étaient toujours du même violet que auparavant mais il y avait quelque chose dans mon sourire qui montrait une vraie haine. Une haine qui se fit encore plus forte quand je vis l’autre bras de l’homme se lever avec sa massue, se dirigeant vers moi à toute vitesse, c’est alors en soufflant que je fis alors un rapide coup au niveau du genou gauche de l’homme, le voyant alors poser un genou à terre se retrouvant alors à ma taille, le regardant toujours avec le même sourire, je haussais rapidement les épaules, comme si de rien était. Je le vis alors dans un réflexe incroyable, relever le bras où il tenait son énorme massue, la laissant alors s’abattre au sol, ne me trouvant plus là où il voulait frapper mais à un endroit bien précis.

Croisant alors les bras en soupirant, je le regardais de plus prêt, me trouvant sur le genou qu’il avait plié, c’était avec un sourire parfaitement narquois que je le regardais, sentant alors sa main venir se porter violemment à ma gorge, me soulevant encore un peu plus, gardant mon sabre dans les mains, c’est alors d’un geste vif, que je fis tourner le sabre dans ma main, le regardant toujours avec un grand sourire. Stoppant alors la rotation, je regardais alors son épaule et fis un geste net et sans appel, tranchant simplement son bras à l’épaule, me retrouvant avec un bras face à moi, le regardant toujours, laissant le sang couler, je le vis alors porter un regard encore plus haineux vers moi, mais pourquoi chercher à me tuer alors qu’il n’y avait plus aucunes solutions à ses problèmes, il n’avait plus aucunes chances. Le voyant une dernière fois lever le bras, dans une tentative désespérée, je passais alors en un instant derrière lui, rangeant alors le katana dans le fourreau, laissant alors un cri de terreur se faire entendre dans le rang de ses hommes. Tournant alors légèrement la tête, je voyais alors la tête du géant se décrocher de son socle tombant simplement dans un bruit assez horrifiant et me tournais alors vers les hommes qu’il y avait encore, les voyant toujours dans une stupeur incroyable, ils n’en revenaient pas, un homme comme moi avait atteint leurs capitaines, chose qu’ils ne croyaient surement pas possible.

Rangeant finalement le katana dans son fourreau, je laissais un léger rire briser ce silence tellement taciturne et tournant alors pleinement les talons, allant alors déposer le fourreau à côté de ma sœur, que je vins prendre sur mon dos, j’entendais alors un cri venant d’un homme, le voyant alors foncer vers moi avec un pistolet, c’était assez idiot de leurs parts mais aussi audacieux, il n’y en avait qu’un seul mais il osait. Le voyant alors se préparer à tirer, je fermais les yeux, me disant que c’était finalement terminé et que j’avais fait une erreur quand j’entendis un coup de feu venir de mon dos, je me tournais alors brusquement, voyant l’homme tomber, totalement inerte, regardant alors quelques hommes que je connaissais avec moi, ainsi que mon père qui venaient d’arriver, prenant alors l’homme qui était sur mon dos promptement. Quand je vis alors les autres hommes foncer vers nous, je sentis mes yeux repasser à un bleu glace tout à fait calme et entendis plusieurs coups de feu retentir de la troupe qui était venu voir comment ça s’était passé, ne voyant plus aucuns hommes debout dans leurs rangs, c’était dorénavant terminé mais pour clôturer le tout, je laissais les hommes se poster derrière moi, prenant alors d’une main l’épée qui était dans mon dos. La mettant alors sur le côté, je fermais les yeux calmement, me préparant à mon action, c’était une sorte d’achèvement de cette attaque, pour montrer que nous avions gagné.

Laissant alors mon souffle partir de ma bouche, je frappais trois fois de façon horizontales et verticales mélangées (c'est-à-dire seulement, trois coups) laissant trois vagues d’énergie foncer vers le navire qui était toujours là, le détruisant petit à petit, laissant les quelques morceaux qu’il restait s’effondrer dans l’océan, me redirigeant vers le groupe qui me tendait les bras, sentant un peu de sang dans ma bouche, le crachant alors simplement. Me postant alors avec eux, je me mis alors à marcher vers le village, me sentant tituber très légèrement, je n’étais pas habitué à me battre comme ça, c’était la première fois que je me battais et même si c’était un petit combat, j’avais risqué bien des choses à plusieurs moments, il fallait que je sois encore plus préparé si je voulais réussir à atteindre mes objectifs et cette année allait être longue. Sentant alors une main m’aider à me tenir droit, je penchais la tête vers l’homme qui me tenait lui souriant, mon père me regardait avec fierté et amour, comme il m’avait souvent regardé, mais cette fois ci, sa fierté était encore plus grande, comme si il avait eu un réflexe de me voir me battre, il avait envie d’être sur de voir un véritable guerrier face à l’attaque. Me rapprochant alors de la ville, je vis toutes les femmes et les enfants s’étant réunis foncer vers nous, comme heureux de me voir en bon état, se réunissant autour de moi, m’acclamant et levant alors la tête, je souriais calmement.

-Je vous l’avais promis et j’ai tenu cette promesse, tant que je serais là, personne n’aura le droit de toucher à vos vies et je suis prêt à risquer encore ma vie si cela va pour vous sauver. Je ne suis pas là par fierté ou par égoïsme, je veux juste vous montrer que je suis digne de mon nom et que je suis digne de Rebellion, qui m’a suivi durant longtemps. Dorénavant…..je serais là pour vous jusqu'à ce qu’il y ai un remplaçant.

Leur souriant alors de tout mon cœur, je baissais légèrement la tête, fermant alors les yeux, me relaxant totalement et commençant à m’assoupir, pour moi, j’aurais aimé voyager, mais si je suis capable d’aider les gens à vivre dans une meilleure sureté, alors je continuerais mon travail jusqu'à la fin de ma vie, car je suis un descendant des Sparda et grâce à mon sang, je resterais là pour eux. Rigolant un dernier instant, je sentais mon esprit s’évader et finalement, on me vit tomber dans les bras de Morphée, tenu par deux hommes supplémentaires, j’avais juste envie de me reposer après cette journée.
Après plusieurs mois j'ai décidé de partir en mer. J'ai acheté une barque et est cédé ma place pour protéger le village à un enfant âgé de 15 ans qui avait la même conviction que moi à l'époque.

25 lignes minimum

Son Physique

Un seul coup d’œil sur cette personne et il vous sera facile de dire quelle est sa profession.Il n'est pas une personne normale qui peut se fondre facilement dans la foule non, c'est tout simplement impossible pour lui.
Les nombreuses cicatrices qui barrent son dos ainsi qu'une sur son visage ne peuvent pas passées inaperçues, montrant à quel point sa jeunesse ou tout simplement sa vie fut douloureuse et violente. A force d'avoir fait couler du sang sur sa peau de son visage celle-ci ne sent pas bon.
Ses cheveux , par une raison inconnue sont de deux couleurs différentes. Comment est-ce possible ? Il n'en sait rien du tout et ce n'est pas le genre de question qu'il se pose souvent. Seul le devant de ses cheveux est blanc, laissant le reste gris. Il est habillé d'un jean bleu froissé et abimé signe qu'il a du se battre à moins qu'il ne lave pas ses habits, ce qui n'est pas le cas. Il porte aussi un chapeau noir qu'il garde en mémoire de sa sœur morte à l'âge de 18 ans, et un t-shirt jaune qui fait de lui jeune. Sa veste noir qui recouvre son t-shirt est malheureusement froissé et décoloré sans doute par le froid. Il porte des lunettes rouges, ce qui fait de lui un élève très sérieux. Sont torse et ses muscles font de lui un sportif surdoué. Il mesure environ 1m80 et pèse sans doute dans les 55kg. Il se coiffe rarement ou met alors ses cheveux en pétard ou sur le côté comme font souvent les pirates d'aujourd'hui.Si on devait lui définir un point faible, ce serait sa cheville, trois entorses en deux ans. On ne pouvait pas penser pire. A part ses problèmes, Benkei fait un garçon assez ouvert et gentil mais quand il s'énerve c'est un diable.
Ashura est l’un de ces hommes qui peuvent tirer avantage de leur physique. Gâté par la nature, grand et doté d’une musculature puissante, il est certainement plus du genre à impressionner qu’à subir une quelconque intimidation. De part sa stature et son aisance, ses mouvements sont sveltes et gracieux, tout en ne manquant pas de force. Ils sont parfois brutaux, parfois doux, tendres ou passionnés. En clair, le jeune homme allie le calme et la tempête, la fougue et la tenue.
S’il fallait le décrire plus en détails de la tête aux pieds,je n'en finirai pas. Doté d’un visage très masculin au regard sévère et inquisiteur, il n’en est pas moins capable d’exprimer tout un tas de choses derrière ce masque de rigueur. Souriant souvent, il démontre une certaine noblesse autant que du mépris, de l’amusement et de l’ennui. Tout son corps parle. Quand il remet ses cheveux en place, d’un geste aisé, ce n’est certainement que pour souligner son détachement et son envie de défier perpétuellement. Tel un serpent, comme son tatouage qui entoure son buste, passant de ses hanches à ses épaules en glissant dans son dos, il est souple tant de caractère que de physique. Sa manière de s’habiller le prouve bien, puisqu’on le trouvera plus fréquemment torse-nu, à exhiber sa fierté, qu’en vêtements hivernaux. Son bas est simple. Il n’est que la ceinture qu’il porte pour rappeler qu’il n’est pas entièrement désarmée. Celle-ci attache les deux béquilles qui lui servent à en découdre.
L’homme est un animal, un animal bien difficile à appréhender. On ne trouve jamais de plus grandes disparités entre chaque individu que chez les humains. Que ce soit physique ou encore sur le plan des agissements, l’homme est un être surprenant, et tous les humanoïdes semblent avoir acquis ces traits. Alors que tant de questions se posaient, de toutes
parts, sur la nature humaine, il y avait un homme qui ne portait pas d’importance à cette question. Cet homme âgé d’à peine dix neuf ans, jeune et insouciant sur la nature de l’homme. Les traits de son visage sont vraiment très fins, ses yeux sont d'un noir très subtil et profond, ils sont également recouverts de paupière aussi fines que du tissu. Son nez est légèrement aquilin, dont les fines narines se dilatent rarement. Sa minuscule bouche est extrêmement pulpeuse et béante qui donne l'impression que sa profondeur est infinie. Ses oreilles sont assez courbées, on pourrait même croire qu'elles se recroquevillent pour se protéger du froid.
10 lignes minimum

Son Caractère

Maintenant, je me dois de vous expliquer comment je suis mentalement, c'est une sorte d'interrogatoire en fait, mais je suis d'accord pour répondre à ces questions, tant que je suis d'accord, vous pouvez être fier, vous allez en apprendre un peu plus sur moi, ce n'est pas donné à tout le monde d'en savoir plus mais je suis prêt dorénavant. Première chose que j'ai à vous dire, j'ai la tête sur les épaules, même si mon sourire peut paraître niais de temps à autres, il y a quand même une grande intelligence et parfois quelques plans derrière mes sourires, jamais rien de bien fourbe mais tout de même, il y a une petite once de réflexion dans certaines de mes actions, je sais me battre mais je sais aussi réfléchir comme les navigateurs, les mathématiciens et tout ça, j'ai de quoi rendre jaloux parfois quelques personnes. Cette intelligence a été mise en place avec le temps à force d'étudier, de trouver des solutions pour aider à la reconstruction d'une ville détruite, ce n'est pas un cadeau de Dieu que l'on 'ma donné, juste une façon assez dure de trouver une intelligence enfouie en moi, j'ai toujours eu les moyens à ce qu'on me disait mais ça ne fait pas de moi un surdoué, juste un homme qui a travaillé pour. Cette intelligence n'est jamais utilisé à mauvais escients c'est pour cela que l'on ne me verra jamais faire de plans machiavéliques ainsi, c'est tout le contraire de moi si je commençais à en faire.

Mais si on commence à me connaître, je suis un homme avec un caractère en or, j'adore faire rire les gens et même si je suis un combattant, je suis le premier à vouloir faire des conneries, c'est la chose qui fait que je me sens vivant, si je ne pouvais m'amuser ni faire rire les gens, je ne pourrais pas vivre aussi aisément que dorénavant alors si on me voit sans sourire sur le visage, c'est que je m’apprête à me battre. Car quand je commence à me préparer à un combat, mon regard est légèrement plus dur et si la raison pour laquelle je me bat est celle où je dois protéger les gens qui me sont chers et bien, mon regard est profondément froid comme la glace et je suis capable de faire des horreurs pour que les gens n'aient aucunes douleurs et que je ne sois pas en deuil une seconde fois dans ma vie. C'est aussi pour cela que j'adore passer du temps avec les autres, ça me permet d'oublier en grande partie mes peines et aussi d'aider les gens à sourire encore plus, c'est ainsi que j'aide les gens à se sentir mieux, même si je sais me battre, j'ai un grand cœur à ce que l'on m'a dit et pour toujours, j'adore faire rire les gens, car le rire des gens est la meilleure manière de se détendre pour moi, ainsi on voit un homme amusant et amusé chaque jour en ma personne. C'est comme ça que je vis, en profitant de la vie chaque jour.

Car oui des fois, quand je ne m’entraîne pas et que j'ai du temps pour moi, je m'amuse à me poster dans un coin, sur un toit ou dans un champ à côté de la ville en regardant le ciel, ça me permet de me détendre et de me reposer, car je ne suis pas vraiment flegmatique mais j'aime parfois prendre du temps pour me reposer car il n'y a jamais vraiment de repos quand on doit surveiller un village. J'ai aussi un rêve que je ne parle presque jamais et que je ne préfère pas dire pour que le village n'ai aucuns remords à ce que je sois là mais je rêve de voyager dans le monde, d'être libre et de traverser les mers pour voir le monde dans son ensemble, de voir ce que les gens font loin de mon village mais depuis l'attaque qui s'est passé durant mon enfance, je préfère ne pas bouger de là ou je suis, étant comme dit précédemment, le protecteur de ce village. C'est ainsi que je vis ma vie, en m’entraînant, en profitant de la vie en rigolant avec les gens et en rêvant d'un voyage qui pourrait enfin me faire voir le reste du monde dans lequel on vit, et ainsi pouvoir me faire des amis ou juste me battre avec des gens qui en ont le mérite. Ma vie n'est pas bien compliqué mais c'est pour cela que parfois je m'ennuie, car il n'y a rien de palpitant.

Ce que j'insinue est que si vous voulez me faire partir, il faut que vous vous montriez dignes, car j'aime parfois les petits défis ou les gens qui ont des ambitions, ce n'est que en vivant ainsi que l'on peut réussir à faire quelque chose. C'est pour cela que parfois j'aime faire des petits défis sans réels attaques pour voir si la personne en face de moi est capable de se battre pour ces convictions, ce n'est pas en criant et en ne faisant rien pour réussir que l'on peut réaliser ces rêves. Je ne fais pas cela pour énerver les gens, je veux juste que les gens n'aient pas de regrets en ne s'étant pas donné à fond totalement, juste un test en soi.
Aux premiers abords, on remarque rapidement que j' aime manger, je peux crier sur tous les toits "J'ai la dalle ! " même dans une situation critique. Cela se remarque également, car je mange salement, un vrai sagouin. J'en mets partout à côté, mange avec les mains, pique de la nourriture dans les assiettes des autres, c'est vraiment n'importe quoi. Pour moi il ne faut pas moins de huit énorme repas bien garnis de viande et de légume par jour minimum ! Attention, mon aliment préféré c’est quelque chose de très saint pour le corps et l’esprit... Le poisson ! Et oui, cela peut paraître bizarre, mais j' adore le poisson, d'habitude
les gens préfèrent la viande ou des choses plus gros et remplis, mais non moi j'aime le poisson. Après, j' aime tout, mais vraiment tout, tant que je peux déguster ça me va, à vous d’imaginer les pires scénarios, mais il y a tout de même une limite. Je n'irai jamais, même à l’agonie chercher à manger dans les poubelles. Je suis très maniaque sur la nourriture, je veux tout de même quelques chose de mangeable et par de la récupération aussi répugnante. Alors, si vous voyez une personne qui mange comme un goinfre ça ne fait aucun doute, c'est moi, mais me direz vous il faut avoir le ventre plein pour livrez bataille pour plus grande puissance de ce monde!

Prenez garde,j' adore la bagarre, ça me défoule, ça me rend plus fort et surtout ça m’affirme au yeux de tous, être connu en
bien ou en mal peut importe, du moment que l’on parle de moi. La bagarre c'est comme une drogue,je dois en avoir chaque jour. Avec moi, même un simple bras de fer peut tourner en bagarre générale. Attention à ne pas prononcer le mot règlement de compte où tout ce qui est en rapport avec "se taper dessus" en ma présence , cela pourrais être votre dernière heure,
celle ou vous rendez l’âme devant l’adversaire, mourant affaiblit par l’humiliation !

Toi derrière ton Écran


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• Nom du personnage sur votre Avatar et d'où vient-il : ... Personnage inventé
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• Comment le trouves-tu : ... Bien
• Suggestion à faire : ... J'aimerai bien qu'on soit en partenariat.
• Qu'est-ce qui fait que tu t'inscrit sur One Piece Hansen : ... J'adore les forums rpg one piece te je voulais t"aider.


Dernière édition par Benkei Ashura le Mar 7 Fév - 22:21, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Benkei Ashura (terminée)   Benkei Ashura (terminée) Icon_minitimeMar 7 Fév - 22:21

Voila terminée en espérant avoir un bon niveau.
PS: Désolé si j'ai fait trop long.
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MessageSujet: Re: Benkei Ashura (terminée)   Benkei Ashura (terminée) Icon_minitimeMer 8 Fév - 15:25

Bienvenue Benkei !

Avant tout je te remercie d'avoir posté ta présentation si vite et surtout de m'avoir rejoins. Je vais commencé à lire ta présentation en détails, mais je te donnerais mon avis seulement après que tu est mis un avatar ( c'est pas une punition hun ! Smile ) . Il faudra aussi rajouter dans ta présentation ton groupe ( c'est moi qui l'est oublié tu aura juste à remplir regarde bien en haut ^^ ).

Voilà merci encore de ta gentillesse et bonne chance pour l'avatar ^^
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MessageSujet: Re: Benkei Ashura (terminée)   Benkei Ashura (terminée) Icon_minitimeMer 8 Fév - 15:31

OK je vais me chercher un avatar. Sinon mon groupe c'est pirate.
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MessageSujet: Re: Benkei Ashura (terminée)   Benkei Ashura (terminée) Icon_minitimeMer 8 Fév - 16:24

Bon bah nous revoilà é_è , alors bravo pour l'avatar Wink

Pour ce qui est de ta présentation j'ai pas grand choses à en redire quelques fautes par-ci par-là, une longueur à n'en plus voir le bout x) et un vocabulaire plutôt riche c'est très plaisant à lire tu est donc bien évidemment validé !

Ton fruit est accordé mais je voudrais que tu fasse un rp d'obtention pour affirmer tout cela ( au présent ou en FlashBack comme tu veux )

Ton sabre accordé aussi Smile

Maintenant j'aimerais te poser deux petites questions :

- Une place en tant qu'admin est libre que dirait-tu de la prendre à mes cotés ?

- Que dirait tu, vu que ta largement le niveau, d'être capitaine ? Smile
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MessageSujet: Re: Benkei Ashura (terminée)   Benkei Ashura (terminée) Icon_minitimeMer 8 Fév - 18:22

Je veux bien être administrateur vu que je 'y connais beaucoup dans ce poste. Et pour capitaine, oui j'en avais l'intention Smile
Sinon merci pour a présentation et je vais faire ma rp sur l'obtention de mon fruit du démon.
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MessageSujet: Re: Benkei Ashura (terminée)   Benkei Ashura (terminée) Icon_minitime

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Benkei Ashura (terminée)

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